In 1976, at seventeen, Christian Menu exhibited his first paintings.
In 1979, he entered the National School of Fine Arts in Paris, after completing a higher and special mathematics university course at Pasteur and Condorcet high schools in Paris.
Throughout his studies he will have the opportunity to present his architectural drawings as his paintings at the Melpomène hall, quai Malaquais, at the Institut de France, at the Grande-masse gallery, rue Jacques Callot, then in New York at the Coliseum, at the Grand Palais in Paris, at Tsukuba expo’85, at Tokyo International Centre. He is invited to collaborate to the Techniques and Architecture and Le Mur vivant magazines. He is awarded by the European Academy of Arts, the Academy of Fine Arts of the Institut de France, by UIA, by UNESCO.
In 1984, he designed and built his first architectural work, “Maison neuve” in Niort, widely published and immediately recognized.
In 1985, he prepares his graduation diploma with Iannis Xenakis, Nicolas Schöffer, Stéphane du Château, Monique Mosser, Mahdu Elmandjra, Hugues de Jouvenel, after having stayed in Japan and met Kenzo Tange, Fumihiko Maki, Arata Isozaki, Kisho Kurokawa Metabolism movement founders. He obtained the jury’s congratulations for a project of glass garden-bridge crossing the Seine in the center of Paris. This project has been developed with Stéphane du Château, internationally recognized engineer for his structural research; as well as with Iannis Xenakis, a composer who created stochastic music and searcher who collaborated with Le Corbusier.
The same project will be exhibited on several occasions in France and Japan. For this study, he was awarded the Special Grand Prix of the Grand Prix of glass architecture of the Glass Institute.
In 1986, after graduating and being awarded UNESCO World Grand Prix for Young Architects, he was invited to stay at the Royal Saltworks of Arc-et-Senans and to exhibit a retrospective of his microcities research and his last paintings. The welcome committee included personalities such as Richard Edwards, Monique Mosser, Antony Vidler, Paul Virilio...
The same year, Michel Crépeau, minister in François Mitterrand's government, offered him to build his first work in the city of La Rochelle, the Technoforum, designed in collaboration with Peter Rice, the British the Sydney Opera House engineer. The Technoforum is now listed in the inventory of contemporary heritage in Aquitaine. This particularly innovative work will be widely published both in France and abroad. It will obtain the recognition of the Ministry of Culture, which will include it in the list of fifteen new architectural works and representative of French creation of the 80’s and 90’s.
In 1993, the Culture Ministry selected him from among the most representative French “new creators”, all the arts and all generations combined.
In 2001, he proposed his paintings at the Nicolas Deman Gallery in Paris where he has been exhibiting regularly since then.
In 2005 Nicolas Deman published "Le clos Saint-Pierre", a poetic essay on the artist Kimura
In 2007, he exhibited at the Musée d'Ile-de-France at the Château de Sceaux estate where he rehabilitated and extended the 17th century stables.
In 2012, he is invited to exhibit in Shanghai at the International Arts Centre.
The same year he won the international competition for the building of the Art and History Museum of Liège. And two years later the competition for the Fine Arts Museum of Mons.
In 2015, the guide for modern and contemporary architecture from 1885 to 2015 of the Wallonia-Brussels Federation, the Belgian Culture Ministry, lists his two fine art galleries as outstanding.
From the same year he exhibited his paintings permanently at David Phlypo's gallery in Roeselare, Belgium.
In 2016, he moved to Venice and now divides his time between his studios in Paris and La Serenissima. He exhibits his works at the Bonlini Palace.
From 2017, he regularly publishes photographic, architectural and literary notebooks published by the house l'Intouchable: À la ligne d'horizon, La passe de Pellestrina, Ce sentiment océanique, Le chemin blanc, La vague de Kanagawa, Archéologie volume I and II .
In 2018, he published his first novel and his first short story, À mort et Syracuse.
In 2019, he reiterated with À voix basse.
In 2024, he published Cargo, A la verticale du ciel, L'oubli
En 1976, à dix-sept ans Christian Menu expose ses premières toiles.
En 1979, il entre à l’École nationale des Beaux-arts de Paris, après avoir suivi un cursus de mathématiques supérieures et spéciales aux lycées Pasteur et Condorcet à Paris.
Tout au long de ses études il aura l’occasion de présenter ses dessins d’architecture comme ses toiles dans la grande salle d’exposition Melpomène du quai Malaquais, à l’Institut de France, à la galerie de la Grande-masse rue Jacques Callot, puis à New York au Coliseum, au Grand Palais à Paris, à l'Exposition universelle de Tsukuba, au Centre international de conférence de Tokyo. Il est invité à collaborer aux revues Techniques et architecture et le Mur Vivant. Il est récompensé par l’Académie européenne des arts, l’Académie des beaux-arts de l’Institut de France, par l’UIA, par l’UNESCO.
En 1984, il conçoit et construit sa première œuvre architecturale, « Maison neuve » à Niort, largement publiée et d’emblée reconnue.
En 1985, il prépare son diplôme de fin d’étude avec Iannis Xenakis, Nicolas Schöffer, Stéphane du Château, Monique Mosser, Mahdu Elmandjra, Hugues de Jouvenel, après avoir séjourné au Japon et rencontré Kenzo Tange, Fumihiko Maki, Arata Isozaki, Kisho Kurokawa, fondateurs du mouvement du Métabolisme. Il obtient les félicitations du jury pour un projet de pont-jardin en verre franchissant la Seine au centre de Paris. Ce projet aura été mis au point avec Stéphane du Château ingénieur internationalement reconnu pour ses recherches structurelles ; ainsi qu’avec Iannis Xenakis compositeur ayant créé la musique stochastique et chercheur ayant collaboré avec Le Corbusier.
Ce même projet sera exposé à de multiples reprises en France et au Japon. Il reçut pour cette étude le Prix spécial du Grand Prix d’architecture-verre de l’Institut du verre.
En 1986, après avoir obtenu son diplôme et avoir été couronné Grand prix mondial des jeunes architectes par l’Unesco, il est invité à séjourner à la Saline royale d’Arc-et-Senans et à y exposer la rétrospective de son travail sur les micro-cités, et ses dernières toiles. Le comité l’accueillant comprenait des personnalités comme Richard Edwards, Monique Mosser, Antony Vidler, Paul Virilio…
La même année, Michel Crépeau alors ministre au gouvernement de François Mitterrand lui offre de construire sa première œuvre dans la ville de La Rochelle, le Technoforum, conçu en collaboration avec Peter Rice ingénieur britannique de l’opéra de Sydney. Le Technoforum est inscrit désormais à l’inventaire du patrimoine contemporain d’Aquitaine. Cette construction particulièrement innovante sera largement publiée tant en France qu’à l’étranger. Elle obtiendra la reconnaissance du Ministère de la culture qui l’inscrira dans la liste de quinze œuvres architecturales nouvelles et représentatrices de la création française des années 80 et 90.
En 1993, le ministère de la Culture le sélectionne parmi les « nouveaux créateurs » français les plus représentatifs, tous les arts et toutes les générations confondus.
En 2001, il propose ses toiles à la galerie Nicolas Deman à Paris où depuis il expose régulièrement.
La même année il remporte la consultation internationale pour la construction du musée d’art et d’histoire de Liège. Et deux années plus tard celle de la réalisation du musée des Beaux-arts de Mons.
En 2005, Nicolas Deman édite "Le clos Saint-Pierre", petit essai poétique sur le peintre Kimura.
En 2007, il expose au musée d’Ile-de-France au domaine du château de Sceaux, dont par ailleurs il a réhabilité et étendu les écuries du 17° siècle.
En 2012, il est invité à exposer à Shangaï au Centre international des arts.
En 2015, le guide de l’architecture moderne et contemporaine de 1885 à 2015 de la Fédération Wallonie-Bruxelles, le ministère belge de la Culture, recense ses deux musées comme remarquables.
À partir de cette même année il expose ses toiles de façon permanente à la galerie de David Phlypo à Roeselare en Belgique.
En 2016, il s’installe à Venise et partage désormais son temps entre ses studios de Paris et de la Sérénissime. Il expose au Palais Bonlini.
À partir de 2017, il publie régulièrement des cahiers photographiques de parcours architecturaux et littéraires aux éditions de l’Intouchable : À la ligne d’horizon, La passe de Pellestrina, Ce sentiment océanique, Le chemin blanc, La vague de Kanagawa, Archéologie tome I et II .
En 2018, il publie son premier roman et sa première nouvelle, À mort et Syracuse.
En 2019, il réitère avec À voix basse.
En 2024, il publie Cargo, A la verticale du ciel, L'oubli